"La mesure répète, le rythme renouvelle" : cette simple phrase nous introduit autant à la pensée de l'auteur qu'elle la condense. Pour elle, la perte d'âme suit comme une ombre la rationalité instrumentale, assumer la vie en vécu seul est fécond. Pointant nos maladies de civilisation, son étude n'est pas sans résonance avec ce qui anima bien d'autres éveilleurs, de la danse libérée d'Isadora Duncan au montage d'Eisenstein, du musical en peinture chez Klee à "l'athlétisme affectif" chez Artaud.
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