La littérature doit-elle être considérée comme une concurrente, ou bien
comme une source pour les sciences sociales? J'aimerais dégager ici les
questions sous-jacentes à cette interrogation, de façon à éliminer celles qui
sont sans pertinence - donc sans utilité - pour le travail sociologique, et à
ne garder, bien sûr, que celles qui pourront nous faire avancer.