Une fois qu'on incriminé la télévision et le cinéma,
pour expliquer la désaffection du public pour le
théâtre, peut-on vraiment prétendre avoir sérieusement
réfléchi à "la crise Il ? Évidemment non. Tout le
monde sait ce qui va suivre, mais qui le dit? Voici
donc une libre opinion, simple mais, me semble-t-il,
nécessaire, fondée sur mes observations durant
trente ans.