Pour relever le défi d'appréhender un "sacré hors religion", il
m'a semblé pertinent de réfléchir à partir d'écrits féministes qui,
depuis les années 1970 en France, explorent la notion de
différence] et tentent d'élaborer une nouvelle défmition du féminin.
Mon interrogation est double: est-il possible de dégager un
processus de sacralisation du féminin et pourrait-on en déduire un
idéal-type de sacré non religieux, étroitement lié à la culture
psychanalytique?
Quels sont alors