Dans un travail en 2013 avec deux classes de troisième année
sur les "avantages et inconvénients des JO d'hiver à Beijing", sur 46 copies ramassées où les avantages l'emportent nettement, 30 ont présenté leurs arguments avec le pronom "nous" : "Les JO permettent d'élever notre statut international", "Cela va stimuler notre économie", "Cela va aider à améliorer notre image", etc.
On voit qu'ici s'opère un automatisme où la collectivité parle à la
place de l'individu.