"Les fêtes situées aux confins du spontané et du codifié,
procédant à la fois du politique et du culturel, constituent
un angle d'approche des sociétés particulièrement
éclairant." (Goerg, 1999 : 6)
Si Georg montrait déjà dans les années 1990, l'intérêt de
l'étude des festivités dans l'analyse anthropologique,
l'aspect chorégraphique de l'évènement restait, lui, peu
abordé.