Une étude de l’université de Milan dévoile les mécanismes “interférentiels ” de l’information: comment se fait-il que quelques milliers de réfugiés albanais aient pu être décrits par la presse comme une énorme invasion de nature presque criminelle ? Pourquoi, contrairement à un passé récent avons-nous lu, même dans la grande presse modérée, des titres alarmistes et criminalisants ?