Je tiens à remercier les organisateurs et particulièrement Florence Douguet de m'avoir invitée à participer à cette réflexion en cours sur les formations et à pointer le plaisir que j'ai eu en découvrant que le colloque se tenait dans un amphithéâtre portant le nom de Germaine Tillion et qui rend ainsi hommage à une grande ethnologue française, dont les travaux ne sont à mon sens pas encore assez connus, bien qu'ils aient marqué le XXème siècle.