Je vais rebondir sur la remarque de Jean-Claude Mas, à savoir, placer le consommateur au centre des démarches de marketing, et donc lui parler. Ce n'est pas toujours facile, et surtout, c'est très coûteux. Dans le vin, la réalité économique est telle que si l'on ne dispose pas de milliers de millions d'euros pour parler au consommateur, le chemin le plus direct et le plus efficace est alors de s'appuyer sur des relais d'opinion.