L'intervention proposée dans le cadre des Journées Internationales de Sociolinguistique Urbaine1 - dont cet article fait la synthèse - vient illustrer une partie des conclusions de ma thèse de doctorat intitulée Discours de (dé)légitimation spatio-langagiers de la migrance en espace urbain2. En effet, à l'heure de clôturer ce travail prenant en compte la pluridimensionnalité des discours sur la mobilité - notamment dans la ville - et leurs relations dialectiques, il semble nécessaire de comprendre les formes de domination (re)produites par ces mêmes discours dans l'examen de la question de la légitimité accordée aux personnes "migrantes" à être présentes (ou non) dans différents espaces de la ville.