Écouter, transcrire, analyser, entrer en résonance avec la parole des femmes suivant leur parcours d'immigration et de leur vie en France pose la question centrale de la langue. Dans quelle langue aborder leurs récits ? Comment "rendre explicite ce qui est implicite, redonner une dignité aux histoires migratoires, relancer les narrativités et les tissages identitaires1" ?