Peut-on parler en toute objectivité du "Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur" (CAMES) en faisant l'économie des thèmes de "grandeur et décadence", de "la face cachée", des "heurs et malheurs" ou des "comptes et mécomptes" d'une institution d'intégration, bref, d'un espoir tout simplement déçu ? Personnellement, nous ne le pensons pas un seul instant, car tant de choses ont été dites mais pas suffisamment écrites hélas1 sur cette institution qu'il est devenu indispensable de procéder à une évaluation sans complaisance de son fonctionnement.