C’est d'emblée en tant que penseur de la civilisation que Nietzsche aborde le Reich, c'est-à-dire l'empire. Certes, « il nous est impossible de revenir à l'ancien, nous avons brûlé nos vaisseaux sans retour », mais Nietzsche déplore la chute de l'empire romain. D'après lui, le christianisme a détruit l'imperium romanum, « ce chef d’œuvres admirable du grand style », il nous a coupé des Grecs et des Romain, il nous a également fait perdre la culture de l'Islam.