Le lien entre le voyage et la guerre s’impose d’emblée lorsqu’on assimile les militaires à l’ensemble des voyageurs qui se déplacent pour une durée déterminée et en ayant l’idée qu’ils reviendront à leur point de départ. Mais il devient plus incertain si on considère le voyage comme une activité consciente d’elle-même, organisant par l’écriture une dimension réflexive.