« Ich glaube an die unendliche Menschheit, die da war, ehe sie die Hülle der Männlichkeit und Weiblichkeit annahm. » La phrase de Friedrich Schleiermacher, ami et, à l’occasion de la publication de Lucinde en 1799, défenseur de Friedrich Schlegel, éclaire ce roman, texte intéressant à plus d’un titre – tout d’abord en raison de la place qu’occupe son auteur dans le premier Romantisme : Schlegel est connu avant tout comme le chantre des théories romantiques.
