Rien ne semblait prédisposer Margarete Rosenberg, née en 1894 dans un foyer de la bourgeoisie berlinoise, à connaître un itinéraire de fracture et de déchirement, jusqu’à faire de l’écriture le lieu de son expression et de son possible dépassement.
FULGURANCES DE LA CONSCIENCE DU TOUT ET DÉSESPÉRANCES FACE AU MONDE DÉCHIRÉ