Les associations, pourtant diverses dans leurs affiliations confessionnelles ou laïques, promeuvent des valeurs de plus en plus convergentes, telles que la solidarité, la tolérance et le pluralisme, l’égalité et la liberté individuelle. Le sens commun inciterait à penser que cette convergence de valeurs résulte de l’affaiblissement des identités héritées, tant d’ailleurs pour les appartenances confessionnelles que pour les appartenances laïques. Est-ce toujours le cas ?