L'immédiat après-guerre a plutôt passé sous silence les philosophes et les penseurs exilés d'Allemagne. Nous montrerons qu'il n'y a pas lieu de s'en étonner dans la mesure où, déjà dans l'entre-deux-guerres, la philosophie allemande était de toute façon peu traduite en France. Nous ferons ensuite le point sur le vide des années 1945-1972, et sur le rattrapage des années suivantes. Nous essayerons ensuite de donner quelques tentatives d'explication.