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En un peu plus d'un demi-siècle (1930-1981), la France ne parvient pas à recouvrer une influence majeure en Grèce. Dans sa quête pour retrouver la position privilégiée des années 1920, elle ne mène la plupart du temps qu'une politique de réaction tardive dans laquelle se joue une dichotomie entre Etats et acteurs locaux. Le cas grec ne serait finalement qu'une illustration d'une trajectoire globale de « déclin », ou du moins d'une moyennisation, de la puissance culturelle française.
Mathilde Chèze, docteure en histoire contemporaine, est professeure d'histoire et de géographie en lycée (section européenne).