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Que deviennent les libertés publiques lorsque l'Etat, par ses hommes politiques et ses services de renseignement, évoque un scénario catastrophe à venir, et, au nom de la sécurité collective, argue d'une situation d'exception justifiant la surveillance et la coercition en invoquant la nécessité de l'antiterrorisme ? Est-ce que ces mesures antiterroristes sont proportionnelles au danger ? Sont-elles raisonnables ? Et qui doit trancher ?