Les "jeunes metteurs en scène" qui sont apparus comme
des découvreurs ces dernières années commencent à
"s'installer" dans des structures administratives. Qu'en est-il
de ceux qui, au faîte d'une certaine maturité, se lancent dans
l'aventure d'une compagnie indépendante pour dire que le
théâtre, loin des tentatives de laboratoire, doit d'abord
rester un dialogue entre des êtres humains, comédiens et
spectateurs? Jean-Pierre Garnier, qui a monté il y a
quelques années Méphis