À l'instar de l'habitude qui a consisté, pendant des siècles, à penser
les œuvres humaines de qualité comme appartenant à un panthéon sans humains, merveilles du monde détachées de leur(s) auteur(s), l'expérience de pensée qui sera ici menée voudrait, en quittant le pôle de la production et en passant du côté de la réception, à tenter d'imaginer que les œuvres, des œuvres, pourraient se passer de spectateur.