Président du groupe parlementaire du Mouvement de la société de la paix (l’ex-Hamas), Abderrazak Makri reproche à l’ex-Front islamique du salut (FIS) d’avoir mis la revendication islamiste «à portée du premier venu», en 1990-91. Virulent contre les GIA, il taxe en outre le pouvoir algérien d’incompétence et explique que son mouvement participe au jeu électoral car il a le sens des responsabilités. Il espère que la population aura appris à porter un regard beaucoup plus « responsable » sur les discours qu’on lui propose.