C'est en lisant tout à fait incidemment “La mort de Halpin Frayser”, nouvelle brève et déroutante, chaotique et volontairement déconcertante dont la logique est à trouver plus dans le climat narratif qu'à partir des pistes erratiques ou fausses qui nous sont données, que je n'ai pu m'empêcher de faire une comparaison, à plusieurs niveaux avec le roman, il faut le dire, totalement raté de Melville, Pierre ou les ambiguïtés.