Libido dominandi. L'expression est de saint Augustin. N'estce pas conclure un débat que de commencer par ces mots définitifs ? Les contributions qui composent ces deux volumes démontrent que le sujet n'est jamais clos. Et tout ce qui figure dans ces propos liminaires s'y trouve développé. Il ne s'agit pas de labourer un champ immense, tout au plus d'emprunter des pistes dont on connaît l'issue, sous un éclairage différent.