Lorsqu'on m'a proposé de participer au colloque franco-allemand « Communication, médias et société », j'ai accepté avec plaisir ; de même, lorsqu'on m'a demandé si j'acceptais de fournir une contribution sur la presse, il m'a été facile de le faire. Par contre, lorsque j'appris que je devais également dire quelque chose sur la recherche sur la presse allemande, j'ai eu des problèmes. Car, d'une part, je suis en tant que romaniste allemand et spécialiste des médias plutôt habitué à parler du paysage de la presse française et de la recherche sur celle-ci et, d'autre part, je sais qu'avec Jean-François Tétu du côté français j'aurai pour collègue en matière de recherche sur la presse un spécialiste de qualité dans ce colloque.
