Tout d'abord je tiens bien sûr à remercier les
organisateurs de ce colloque qui nous permettent d'échanger
sur un sujet terriblement d'actualité.
La vision que peut avoir un psychiatre de la vieillesse et
de la démence est bien sûr différente de celle du biologiste, de
l'économiste ou de l'historien; elle reste pourtant bien
complexe; nous sommes à la croisée de la médecine, de la
psychologie, de la législation voire parfois de l'art ou de la
philosophie