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LES CONTRIBUTIONS DE L’AUTEUR
LES ARTICLES DE L'AUTEUR
Algérie, le mouton "m’a tuer"
Lorsqu’on voyage en voiture en Algérie, il y a deux éléments prédominants dans le paysage : des écoliers allant ou revenant de l’école[1] et des moutons. Dans un pays où existe une « fête du mouton » ou Aïd el Kébir, il semble normal de rencontrer des moutons ; sauf que l’élevage de cet animal pousse le pays vers le chaos.
Entretien / Djamel Belaïd. Expert agronome : «La récolte au Sud ne peut compenser le déficit enregistré par des wilayas à l’ouest du pays»
Entretien accordé à Samira Imadalou du quotidien algérien El Watan afin de commenter les résultats de la campagne moissons 2025 en Algérie. 17/06/2025
Maghreb. Pour l’Aïd, les prix du mouton flambent
Maghreb. Pour l’Aïd, les prix du mouton flambent.
Djamel BELAID 5 juin 2025
Cette année, la célébration de l’Aïd el-Kébir est frappée par une double crise climatique et économique. Mais c’est le modèle même de l’élevage dans la région qui est remis en question. Il nécessite des adaptations profondes qui tardent à venir.
Maroc-Algérie, la guerre de l’eau
Maroc-Algérie, la guerre de l’eau
Djamel Belaïd 8 janvier 2025
Les relations entre le Maroc et l’Algérie ne cessent de se détériorer comme en a témoigné la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays en 2021. Mais un nouveau front s’est ouvert ces derniers mois, celui de l’eau, avec la construction d’un barrage dans une zone frontalière et contestée. (article paru dans Orient XXI)
Sécheresse à Oued Lili (Algérie), un besoin urgent de semis direct.
Sécheresse à Oued Lili (Algérie), un besoin urgent de semis direct.
Djamel BELAID 2 juin 2025
Alors que dans le grand sud sous pivot d’irrigation la moisson de blé bat son plein, plus au nord à Oued Lili (Tiaret), les agriculteurs font triste mine. Leurs parcelles sont sinistrées, en cause la sécheresse mais aussi l’incapacité des services agricoles à proposer des alternatives à la céréaliculture pluviale et de moderniser le dry-farming.
De Boumèdiene à Tebboune, le drame de la politisation de l’agriculture en Algérie
Djamel BELAID 13 juin 2025
A la mi-juin, à Tiaret lors d’une réunion de crise consacrée à la sécheresse dans les wilayas de l’ouest, un agriculteur a lancé : « Boumediène et Tebboune sont les seuls présidents à s’être déplacés pour un congrès de l’UNPA ». Deux présidents qui ont profondément marqué et politisé l’agriculture en Algérie.
Préservation du cheptel ovin,Tebboune interdit l’abattage des agnelles
Lors de sa dernière rencontre avec la presse, le président Abdelmadjid Tebboune s’est dit choqué par le prix atteint par les moutons. Il a rappelé que l’abattage des agnelles est interdit et que leurs auteurs devraient être poursuivis par la justice. Une mesure qui intervient dans un contexte de pénurie de fourrages et d’émergence de nouveaux modes d’élevage.
L’Algérie interdit l’abattage d’animaux femelles depuis plusieurs années, c’est le cas de la loi du 27 janvier 1988.
Dans la pratique, elle n’est pas appliquée. Aussi, en mai 2023, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, a annoncé qu’un projet de loi criminalisant l’abattage des vaches, brebis et chèvres était en cours de préparation.
Crise franco-algérienne, même jusque dans l’assiette ?
Crise franco-algérienne, même jusque dans l’assiette ?
Djamel Belaïd 16 février 2025
Le 12 février dernier une chronique matinale de la radio Europe 1 avait pour titre : « La crise franco-algérienne jusque dans l’assiette ». Etaient alors énumérés les marchés perdus par les agriculteurs français : céréales, bovins, produits laitiers, sucre, biscuiterie et conserves. Des exportations pour 1,3 milliard d’euros de produits agroalimentaires en 2022, et en « chute libre » en 2024 était-il précisé.
Algérie, la fête de l’Aïd sauvée par l’importation de moutons
Algérie, la fête de l’Aïd sauvée par l’importation de moutons
Djamel Belaïd 14 mars 2025
A plusieurs semaines de la fête de l’Aïd el Kébir, la décision des pouvoirs publics d’importer des moutons est loin de passer inaperçue. Les consommateurs se déclarent ravis tandis que les éleveurs craignent une baisse de 30% des prix. Cette décision intervient dans un contexte préoccupant de sécheresse.