
Khadim Guèye
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Descriptif auteur
Jeune écrivain sénégalais de l'expression française, khadim Gueye est né le 10 Octobre 1995 à Malicounda, au Sénégal. Issu d'une famille très modeste, il a pourtant bravé avec détermination les montagnes d'écueils, dressées sur son parcours scolaire, aussi troumenté que les aventures d'Ulysse. Après l'obtention de son baccalauréat, il a séjourné quelques nostalgiques années à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, à la Faculté des Lettres et sciences humaines, avant de devenir un grand autodidacte dans plusieurs domaines, tels que la Littérature, la Philosophie, la Synergologie, le Développement personnel, la Rhétorique, et l'Entrepreneuriat. Aussi curieux qu'un Sage, Khadim Gueye est un fervent polymathe, qui cherche inlassablement la Sagesse et l'Excellence dans les Livres.
Véritable amoureux de la lecture, il passe des heures entières dans les Livres où il satisfait, de fond en comble, sa boulimie désarmante de lecture, comme un rat de bibliothèque. Cet ardent faim-valle envers les Lettres lui dijonctent des contingences de la vie, au point que certains le traitent péjorativement d'un casanier solitaire et asocial, à cause de sa déconnectitude envers les bagatelles sociales. Convaincu maintenant que la médiocrité a été générée par la liberté d'opinions dont les réseaux sociaux, et les télé-amteurs, sont les maître en cet art d'infomédiocres, Khadim Gueye s'égaye à trouver l'ermitage le plus absolu dans l'Écriture, qu'il considère comme son échappatoire, sa tour d'ivoire, sa bulle d'isolement. Mais, la lecture demeure sa campagne, et sa professeure. Car, elle est la seule école où l'on apprend avec passion la Solitude, la Sagesse, et l'Amour.
Sa finesse d'esprit dans les questions philosophiques lui vaut, sans doute, son fameux surnom de '' ROUSSEAU '', du philosophe genevois, Jean Jacques Rousseau, qu'il a choisi comme maître-à-penser. Malgré ce beau surnom, il se fait, en outre, appeler par ses congénères poètes, '' LE CHANTRE NOIR '', un pseudonomie typiquement poétique, qu'il a d'ailleurs signé la bonne partie de ses articles. En dépit de ces multiples appellations flatteuses qu'on lui assigne, tels que Socrates, Molière, le Philosophe, Khadim, bien que fidèle à lui-même, garde jalousement ses pensées sceptiques et cultive avec modération l'ascétisme qu'il envie des penseurs et sages de l'époque.
Auteur de quelques ouvrages de haute facture, Khadim est un vrai homme de Lettres, aussi balèze en rhétorique à cause des joutes oratoire dont il participe fréquemment, qu'à l'écriture, qui n'est pas, non seulement, son domaine de prédilection, mais également sa thérapie personnelle, donc le pansement de son âme et la compresse de son cœur.
Doublé d'un leadership hautement avéré, il est apprécié dans les petites localités de sa chère commune, grâce à son engagement dans le domaine communautaire. Crédible aux yeux des siens, il est membre de plusieurs Cénacle littéraire, artistique et citoyen où il occupe toujours un poste de premier plan, à cause de ses idées innovatrices, son sens de responsabilité et son envie de changer le paradigme intellectuel de son Environnement.
En dehors de l'écriture et des activités humanitaires, il enseigne la Littérature dans le Privé, notamment à l'Ecole Privée Thierno Cheikh de Saly. En mi-temps, il administre des cours de Philosophie et de Littérature, à titre bénévole, dans le but de participer à la formation intellectuelle de ses frères et sœurs, candidats au baccalauréat.
Structure professionnelle : Éducation
Fonction(s) actuelle(s) : Professeur vacataire de Lettres
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AUTRES PARUTIONS
Roman: Un serment d'amour ( en parution )
Poésie : Les mirabelles ( en correction)
Poésie : Les mirabelles ( en parution )
LES CONTRIBUTIONS DE L’AUTEUR
LES ARTICLES DE L'AUTEUR

Biographie - Khadim Gueye
Né le 10 octobre 1995 à Malicounda du Sénégal, Khadim Gueye est un écrivain, professeur vacataire et penseur sénégalais d’expression française. Issu d’un milieu modeste, il a su surmonter de nombreuses difficultés scolaires et sociales pour se forger une trajectoire intellectuelle singulière, marquée par une quête constante de connaissance et de sens.
Après l’obtention de son baccalauréat, il poursuit des études à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, à la Faculté des Lettres et Sciences humaines, avant de se consacrer, en autodidacte, à l’approfondissement de disciplines variées : littérature, philosophie, rhétorique, développement personnel, synergologie et entrepreneuriat. Cette ouverture pluridisciplinaire l’amène à développer une pensée critique, ancrée dans une vision humaniste et éthique de l’engagement intellectuel.
Passionné de lecture et de réflexion, Gueye s’affirme comme un polymathe contemporain, profondément attaché aux valeurs de solitude créative et de rigueur intellectuelle. Il revendique l’influence de Jean-Jacques Rousseau, dont il partage certaines préoccupations philosophiques, notamment la recherche d’authenticité, la critique de la société et l’idéal d’un retour à soi. Parmi ses contemporains, il est souvent surnommé "Le Chantre noir", en raison de la tonalité lyrique et engagée de ses textes.
Auteur de deux ouvrages et contributions littéraires, il développe une écriture à la fois introspective et militante. Une production où se mêlent exigence stylistique, profondeur philosophique et sens du verbe. Son travail est animé par une volonté de revaloriser l’esprit critique, la restauration des valeurs historiques et modernes, la culture de l’effort et la noblesse de la pensée dans un monde saturé d’informations superficielles.
En parallèle de son œuvre littéraire, Khadim Gueye est également très impliqué dans la vie communautaire de sa région. Il intervient régulièrement dans des cénacles littéraires et intellectuels, et participe activement à des initiatives citoyennes en faveur de la jeunesse et de l’éducation. Enseignant de littérature dans le privé, notamment à l’École Privée Thierno Cheikh de Saly, il dispense également, à titre bénévole, des cours de philosophie et de littérature aux élèves en préparation du baccalauréat.
Sa démarche, à la croisée de la pensée, de l’action sociale et de la transmission, s’inscrit dans une dynamique de transformation intellectuelle, culturelle et éthique de son environnement.

Le roman, la poésie et la philosophie
La philosophie, le roman et la poésie semblent constituer une sorte d'alliance de songe-malice, qui combine à la fois pensées, rêves et sentiments. Certes, ils entretiennent une relation complexe, faite autant de convergence que de divergence, qui bredouille une distinction relativement informative. Malgré tout, ils créent en moi un moyen de dénégation de l'éventuel message que le poète, le philosophe, ou le romancier donne à ses lecteurs assoiffés de curiosité. Je suis en effet ce type bizarre qui réunit à la fois ce héraut du verbe, qui nourrit l'égo de la société et l'âme de l'humanité avec ses idées fructueuses, ses souvenirs nostalgiques, mais aussi ses vers grandioses.
Tel ce << Triangle grec >>, le penseur multifonctionnel tel que je me vois déjà du moment que je connais ces trois domaines, se métamorphose en vertu du terrain de la philosophie, de l'art du roman et de la poésie. De ce fait, dans le pathos, je dramatise l'histoire avec une touche propre à moi, et affabule la subjectivité du monde pour ouvrir une brèche de réflexion dans ma boîte de fiction. Avec logos, j'estime heureux de rationaliser la conscience avec laquelle l'homme envisage de détruire son prochain. Mais c'est avec l'éthos de mes vers poétiques que le for intérieur de mes lecteurs se reflète par le biais de l'image que j'extériorise avec le lyrisme personnel.
Alors, la poésie, la philosophie et le roman se croisent, se nourrissent, se transforment l’une l’autre. Tout écrivain, à l’orée de cette réflexion, pourrait se demander ce qui, au fond, les sépare véritablement. Est-ce l’intention, le format, le style, ou encore l’effet recherché sur le lecteur ?
Ainsi, j'aborde le sujet avec une certaine perspicacité :
Le roman, par sa longueur et sa structure narrative, offre une possibilité d’exploration détaillée de personnages, de lieux, de sentiments et de situations. C’est un monde, qui se déploie avec une richesse d’intrigues et de contextes. Il invite à une immersion dans une temporalité et une évolution, là où la poésie et la philosophie, elles, se positionnent comme l'art du fragment pour la première et du doute pour la seconde. Elles saisissent l’éphémère, l’instant suspendu, tant dans les vers du poète que dans les idées véhiculées par le philosophe. Elles condensent, pour l'une l’émotion, le souffle, l’image, et pour l'autre la critique, le doute, la réflexion, puis la vérité. Là où le roman raconte, la poésie dévoile. La où la poésie dévoile, la philosophie met en évidence ce qui est bien et du mauvais. L'une impose au lecteur une confrontation directe à la beauté ou à la douleur, souvent sans les explications qui viendraient assouplir la rencontre. L'autre impose au lecteur une bataille contre l'ignorance, l'obscurantisme, l'injustice auxquels des civilisations et des civilisations ont du faire face. Elle fait la leçon à l'homme.
Pourtant, de cette distance apparente naît un point de rencontre essentiel : l’écriture. Chaque mot dans un roman, chaque phrase, est un choix, une épreuve de style, une quête de résonance. La poésie, elle, joue avec l’instantanéité du sens, mais elle est, elle aussi, une quête. Elle cherche, sans doute, à capter la même essence d’expérience humaine, mais par la concentration et la suggestion. Un poème peut, en quelques vers, évoquer une vérité qu'un roman mettrait des centaines de pages à articuler et que la philosophie mettrait en exergue dans une seule paragraphe. Pourtant, cette vérité n’est pas moins pleine, ni moins complexe telle que le pensent beaucoup d'écrivains, de poètes ou de philosophes.
La poésie pourrait être vue comme une forme de « distillation » du roman. Le poème extrait la quintessence de l’existence, ce qui fait de chaque moment un microcosme, un univers en soi. Le roman, lui, est une exploration de ce microcosme à une échelle plus large, mais pas nécessairement plus complexe que la philosophie qui est une mission de soi pour sauver la vie. Car dans un poème, une image peut contenir en elle-même tout un monde, et chaque mot devient une empreinte qui peut s’élargir ou se resserrer selon l’interprétation du lecteur. Alors qu'un texte philosophique pousse le lecteur à être dans sa '' propre fiction '', traduit par une sorte d'auto-flagellation profonde , après une lecture minutieuse
Ainsi, l’écrivain qui oscille entre ces trois formes littéraires est en quête de ce délicat équilibre entre la densité d’un monde, produit par le roman, la fulgurance d’un instant, générée par la poésie et la finesse de l'esprit, engendrée par la recherche de la sagesse, incarnée par la philosophie. Peut-être que, dans la poésie, il trouve ce qu’il cherche dans le roman sans en avoir conscience : une recherche d’émotion pure, un cri qui ne se déploie pas, mais qui jaillit. Et dans le roman, une patience nécessaire à l'exploration de l’invisible, un désir de comprendre l'autre, d’éclairer l'ombre de la condition humaine par la multiplication des voix, telle que le veut la philosophie.
La poésie, le roman et la philosophie sont des facettes du même désir humain : celui de dire le monde, l'amour, la douleur, la beauté, la perte, mais surtout, celui de les comprendre, de les apprivoiser à travers la magie des mots et des pensées.

Un jour, une date !

Je ne serais jamais seul tant que je suis en contact avec mon écritoire

L'écrivain, le Dieu de son monde
Il faut admettre, autant que je le constate, que l'écrivain est un demi-dieu, qui a réussi à avoir la bénédiction de pouvoir créer, lui aussi, son propre monde avec ses propres personnages dont leur destinée dépend de son bon vouloir de génie inventeur. Raison pour laquelle Khadim Gueye clame en termes bien choisies : '' Si Dieu le peut, le romancier le pourra. '' Car créer un Monde, c'est créer un monde, de la même manière que l'architecte a battu son oeuvre grandiose sur le papier, de la même moule que le maçon sur le terrain. Alors, ce qu'on doit retenir par là c'est que la fiction du romancier est l'ombre de la réalité de Dieu.

Un jour, une histoire !
S'il advient que le cheval ait été récompensé d'une meule de foin dans le champ où il s'est toujours tué à la tâche, il faut avoir une bonne raison de croire que c'est le fruit de son dur labeur durant l'hivernage.

Le jeune romancier

Photo de profil

La littérature est polyglotte
La littérature, seule, est capable de parler toutes les langues du monde, qu'elles soient orales ou écrites. Elle franchit les frontières linguistiques de toutes les cultures pour atterrir dans les bibliothèques où se discutent les phrases les plus étranges du monde, composés de rares civilisations, souvent, même, mortes.

Ma littérature
Le mot littérature me paraît aujourd'hui, plus subtile que convaincant, avec l'âge et l'expérience que j'ai acquise ces derniers temps en tant qu'écrivain affirmé. On n'en disconvient que la notion a pu certes varier comme un pantin, autant que le caméléon a réussi à changer de couleur à chaque endroit, à chaque espace, à chaque climat, mais elle demeure autant que l'on en parle le même miracle, qui constitue une thérapie sociale pour chaque civilisation, pour chaque peuple, pour chaque société.
Aujourd'hui, la littérature est, pour moi, une pièce ouverte à tout avenant, à l'intérieur de laquelle se réunissent des fantômes que sont les êtres fictifs, partageant, à bâton rompu, des histoires de leurs civilisations vraisemblables aux nôtres, par l'entremise d'un narrateur, aussi mystérieux qu' invisible parmi eux, qui reporte ces histoires dans l'ordre chronologique. Elle est cette musique douce et mélancolique que l'on entend dans les forêts lors des promenades livresques dans le temps et dans l'espace des auteurs. Elle est cette mystérieuse voix des fantômes, qui nous content le mirage de la vie dans le frisson pour nous faire oublier le dégoût de l'existence. Elle est encore ce document fabuleux d'une vie, qui atteste avec épanouissement le pouvoir du réel dans l'irréel, élargissant les frontières de l'univers par le dialogue des cultures entrelacés.
Bref, la littérature est ce manteau culturel et social que l'écrivain porte, quelque soit son appartenance raciale, ou ethniques, ou étatiques, et quelque soit sa langue d'écriture, quand il immortalise le procès de la nature par le merveille des mots. C'est cette variété culturelle, qui définit les belles lignes de chaque auteur dans l'éclair de l'instant, tel un tissu traditionnel dans les pays du Soleil. Et de prédilection, c'est ça que j'appelle en termes bien choisies, la vraie Littérature.

Qu'attendre réellement de la littérature ?
Qu'attendre réellement de la littérature ?
'' Qu’attendre de la littérature ? Qu’elle nous délasse et qu’on s’y prélasse ? Ou plutôt qu’elle nous aiguille, dessille et qu’on s’y réveille ? L’homme est complexe et le monde n’est pas simple.
Entre deux réponses, sans doute qu’entre le blanc et le noir, il y a place pour les couleurs et les nuances. Les lectrices et lecteurs sont divers et la mer est souvent porteuse de ce qui à l’océan fait défaut. Seul le faux, c’est-à-dire non pas ce qui n’est pas vrai, car la littérature est, pour une grande part, fiction et imaginaire, mais ce qui n’est pas droit et sincère.
La réponse serait que la littérature participe tant du loisir que de l’utile. Elle permet la détente mais aussi l’affranchissement. Elle nous change les idées, tout en les éclairant sous des jours nouveaux ou renouvelés. Lire Dib ou Ouettar, nous conduit à vivre des expériences inédites, c’est le cas de l’écrire, qui nous transporte sur des rives sauvages et au bord du précipice sismique, mais lesquelles trouvent écho en nous pour réfléchir (sur) le monde qui nous entoure. Plaisir et réflexion, tel pourrait être le crédo de tout lecteur, penchant, bien sûr, selon chacun et ses propensions, à s’installer sur tel ou tel versant.
Je vous invite, comme nous considérerons avec sympathie ou antipathie tel ou tel personnage, qui interpelle en nous sensibilité, imagination et même le goût de l’aventure qui sommeille en chacun, à suivre les pérégrinations d’un chercheur d’os ou d’une danseuse éprise de vie. De même, pour la poésie, L’Iliade algérienne, de Moufdi Zakaria, touche à notre émotion et à notre conscience. L’esthétique servant l’éthique, les contes et fables populaires de notre terroir, tels des «graines de la douleur», patiemment réunis par Rabah Belamri, sauront, autant, parler à notre cœur qu’à notre raison.
Le cœur et la raison, en ces deux beaux terreaux, prend racine la littérature pour nous offrir les plus belles roses. Mais est-il de roses sans épines ? Est-il de joie sans épreuves et de liberté sans lucidité ? Si le cœur s’abandonne au plaisir de lire, la raison devrait s’astreindre au devoir de comprendre.
Car un des rôles de la littérature est de nous faire comprendre dans quel monde nous vivons, d’en observer les travers et les chaînes mais aussi les mérites et les chants d’espoir, d’en relever les entraves mais aussi les charmes et splendeur, au travers des idées et des réflexions, des développements et des illustrations, que contient chaque œuvre littéraire. A l’intelligence que déploie l’auteur de chaque livre, doit répondre celle de chaque lecteur, rendant ainsi possible le monde des idées qui doit naitre de cette jonction et une prise de conscience des enjeux qui sous-tendent chaque œuvre. Même le plaisir de lire commande cette intelligence, tout loisir de lecture étant d’abord un penchant de l’esprit, une inclination raisonnée.
Lire Rachid Boudjedra, Amine Zaoui, Maissa Bey et tous les auteurs moins connus, c’est déployer son intelligence aux confins textuels de chacun de leur titre, pour en saisir la portée, au-delà du récit, dont l’esthétique, qui peut être gratuite, diraient les partisans de «l’art pour l’art», sert in fine à donner ailes et vigueur, support et couleurs, aux idées et contenus, idéaux et valeurs. Ainsi est l’homme, dans notre perspective, un être de pensée et de réflexion, qui se repose pour mieux agir, tel un mot potentiel, dans la langue, avant que la pensée ne s’en saisisse et, en l’utilisant, lui confère la capacité de signifier parmi ses semblables.
La littérature, à notre opinion, contribue à cette capacité de signifier, en éclairant, en aiguillonnant, en suscitant la réflexion et en faisant prendre conscience, selon la position, les convictions, les aspirations et les choix de chacun. Se reposer, ce droit sur soi, échapper aux contingences, est aussi humain, comme l’est la recherche du plaisir et de la distraction, c’est pourquoi la littérature offre aussi au lecteur, des plages de délassement, des horizons, sans cesse nouveaux, rejoignant nos désirs de changement, de dépaysement et d’épanouissement. Lire un livre, est, ainsi, une sorte de cadeau instructif qu’on s’offre, une aubaine alliant plaisir et réflexion dans un mouvement souvent complémentaire d’enrichissement mutuel. Ainsi, le plaisir de lire peut favoriser la réflexion, qui, à son tour, exalte ce même plaisir.
C’est pourquoi, en lisant tel ou tel roman historique, si on s’extasie devant les aventures que déroule l’intrigue, on n’en est pas moins poussé à réfléchir sur les faits historiques, la psychologie humaine, le rôle du héros ou tout autre aspect. Il en est de même pour les autres genres littéraires, où telles ou telles idées s’imposent, selon le sujet ou nos préoccupations, au-delà de l’heureux exercice consistant à lire pour nous délasser. ''
Auteur inconnu

Le livre est comme l'avion, il nous transporte dans d'autres rivages
La littérature est un long cheminement vers des paysages inconnus où seuls les mots s'entretisseraient d'émotions et de charmes pour donner de la plénitude aux lecteurs solitaires. Elle nous envoie derrière les continents où le temps même semble être suspendu. Car, lire c'est voyager dans le temps, dans l'espace et dans le for intérieur des hommes.

Quelle est l'oeuvre de Khadim GUEYE?
Khadim Gueye est un écrivain sénégalais contemporain, reconnu pour ses œuvres abordant les réalités sociales, culturelles et politiques de son pays et de l'Afrique en général. Il s'inscrit dans une nouvelle génération d'écrivains africains qui cherchent à mettre en lumière les défis et les espoirs des sociétés africaines modernes.
Khadim Gueye s’intéresse particulièrement aux thématiques de l'identité, de l'histoire et des tensions entre tradition et modernité. Il explore également les dynamiques de la diaspora, les impacts de la mondialisation sur les cultures locales et les aspirations des jeunes générations. Son écriture se caractérise par un style poétique et engagé, mêlant souvent de petits mots wolof, langue nationale du Sénégal, avec le français, langue officielle, pour renforcer l’authenticité de ses récits et représenter la diversité linguistique du Sénégal.
Bien que relativement discret sur sa vie personnelle, Gueye est très actif dans les milieux littéraires sénégalais. Il participe régulièrement à des conférences, des séminaires et des festivals littéraires, où l'on débat d'habitude sur le rôle de la littérature africaine dans un monde en mutation.
Certaines de ses œuvres les plus connues incluent des romans dont Un Destin malheureux et des poèmes dont Une rose de printemps, dans lesquels il analyse les réalités socio-politiques, tout en célébrant la résilience et la richesse culturelle de l'Afrique.

Une pensée à mon feu père
Dès sa naissance, chaque animal traîne avec lui le cercueil de la mort. L'homme, le plus habile parmi eux, le porte sur son dos, tel un fardeau d'immondices que coltinent les éboueurs dans le Sahel.
Et d'ailleurs, chaque tiers qui passe, le fait perdre l'espoir de vivre autant qu'il le souhaitait, quand il pense que la vie n'est qu'en réalité, une illusion de la réalité post-mortem. Car la vraie vie, paraît-il, c'est celle que l'on vit après la mort.
Donc admettons que la tombe est un éternel foyer !
Repos en paix, papa !

La vie est un roman, le roman est une vie.

Un bouquin et du café: voilà le bonheur d'une personne instruite !

Un Destin malheureux, récit, 286 pages
Le racisme, la xénophobie, la misogyne, l'antisémitisme, les guerres, le terrorisme, telle une pathologie qui détruit l'âme de notre société. Un Destin malheureux décrit la situation de la manière la plus triste qu'une oeuvre littéraire puisse transcender le cœur du lecteur !
Lire ce récit sans les larmes aux yeux devient impossible pour les âmes sensibles !

C'est l'imagination, qui dessine le panorama d'une oeuvre artistique et non l'observation !

Une bibliothèque: c'est un lieu de quiétude où s'entretissent les mots les plus sourds de la sagesse intellectuelle. Un endroit magique avec des personnages honnêtes que l'on ne rencontre nulle part dans ce bas monde.
Quand les contingences de la vie dictent ses lois dans les débats télévisés ; quand les bagatelles deviennent, plus que d'ordinaire, le sujet de discussion entre les sujets pensants ; quand les outils modernes occupent la place centrale de notre quotidien, dérangeant l'ordre normal des choses, au sein des maisons, au détriment même des réunions familiales ; quand les réseaux sociaux promeuvent, au gré d'une influence illusoire, la médiocrité et encouragent les trolls, la culture de l'impolitesse, de la sexualité instinctive avec des contenus dévergondés, du tutoiement à distance avec des trolls insultants; quand de nos jours cette dolce vita met en décadence la société, la bibliothèque, en silence, garde toujours les brocantes de la richesse intellectuelle, qui s'étiolent les seules fleurs de bonheur, dans le coeur solitaire des lecteurs.
Bref, une bibliothèque : c'est l'âme d'une société éveillée, et non pour un monde endormi, qui s'éternise dans l'ornière de l'inhumanité !

Écrire, c'est s'écouter
Écrire, c'est avoir un sixième sens dans un monde criblé d'ennuies comme les dures aventures d'Ulysse. L'écrivain lui, qui voit les siens s'engouffrer au fond de leur bulle de misère, déploie ses cordes de secours dans le fleuve de mots, inondé de mille gouttes d'imagination enivrante.
En écrivant, il écoute le cri des hommes dans le tambour de son propre cœur qui bat l'amateurisme de la vie. Pour les sauver, il leur donne l'illusion de sa vie, alcoolisée de l'espoir.
Car, écrire, c'est s'écouter !

Dieu, l'écrivain suprême
Force est de reconnaître que la littérature est avant toute chose l'ombre de la vie. Cette réalité fictionnelle au cours de laquelle les évènements concordent vraisemblablement avec ce que nous vivons réellement dans le quotidien, reflète l'existence en filigrane de celle chimérique. Car, rien ne se crée, rien ne s'invente : tout est existant.
Ainsi semble-il plus évident de dire que la création de la créature, c'est-à-dire l'écrivain, se veut, à la perfection, celle de son Créateur, l'Etre Suprême.
D'ailleurs, la mise en scène même d'une œuvre littéraire est un travail de Dieu que l'on n'en disconciendrait jamais les traits surnaturels de la fine fleur dans les réalisations de l'écrivain.
C'est la raison pour laquelle j'ai une bonne raison de croire que Dieu considère son monde comme une oeuvre de fiction dans laquelle il contrôle, tels les doigts de pieds en éventail, le destin de chaque personnage, de chaque personnalité, et de chaque personne.
L'écrivain également contrôle la destinée des siens, au concours d'une simple inspiration fabuleuse. La fin du monde correspond à la fin de la vie de chaque âme dans l'oeuvre du divin comme dans l'oeuvre de l'écrivain.
En résumé, notre vie est un roman de Dieu, tel que notre roman est une vie inexistante.

L'utilité du Livre
Le livre est une entreprise d'illusion qui vend, et la sagesse de l'histoire, et les mœurs de époque de l'auteur. Lire un tel document historique nous fait remonter dans le temps et dans l'espace d'une civilisation sous les mirages factuels de l'imagination artistique. L'ecrivain est un génie de son panorama qui donne vie par simple illusion de la réalité mondaine.

L'importance de la lecture
Voici treize citations inspirantes sur la lecture :
1. « Un lecteur vit mille vies avant de mourir. L'homme qui ne lit jamais n'en vit qu'une. »
George R.R. Martin
2. « Plus vous lisez, plus vous saurez de choses. Plus vous apprenez, plus vous irez dans de nombreux endroits. »
Dr. Seuss
3. « La lecture est à l'esprit ce que l'exercice est au corps. »
Joseph Addison
4. « Vous pouvez trouver de la magie partout où vous regardez. Asseyez-vous et détendez-vous, tout ce dont vous avez besoin, c'est d'un livre. »
Dr. Seuss
5. « Les livres sont une magie portable unique. »
Stephen King
6. « Il n'y a pas d'ami aussi fidèle qu'un livre. »
Ernest Hemingway
7. « La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus grands esprits des siècles passés. »
René Descartes
8. « Lire sans réfléchir, c'est comme manger sans digérer. »
Edmund Burke
9. « La lecture nous donne un endroit où aller quand nous devons rester où nous sommes. »
Mason Cooley
10. « Une pièce sans livres est comme un corps sans âme. »
Cicéron
11. « Je trouve la télévision très instructive. Chaque fois que quelqu'un allume le poste, je vais dans l'autre pièce et je lis un livre. »
Groucho Marx
12. « Les livres sont les amis les plus silencieux et les plus constants ; ils sont les conseillers les plus accessibles et les plus sages, et les enseignants les plus patients. »
Charles William Eliot
13) " Le lecteur est un penseur qui pense dans la pensée de l'auteur ''
Khadim Gueye

La photo de l'auteur

Satisfecit après la lecture du récit Un Destin malheureux de Khadim Gueye
[19/09, 18:49] :
Khadim écrit pour toucher notre sensibilité et nous faire rêver autant que nous pouvons. Il le fait avec brio et talent, en utilisant des mots éloquents et magnifiques qui font de ce recueil une oeuvre d'art incontestable. C'est un ensemble que l'on a envie de lire, de relire et de faire découvrir à ceux qu'on aime.
Il n'est pas seulement un intellectuel, il est également un poète nostalgique, un écrivain talentueux et un citoyen engagé. C'est un vrai modèle. Par-dessus tout, il incarne des valeurs de grandes convictions, axées sur l'éthique, la loyauté, le sens de l'honneur et du devoir. Son oeuvre reflète son attachement profond à ces principes, tout en témoignant de sa sensibilité artistique et de son engagement envers la société.
Ibou Ndiaye

Satisfecit d'un lecteur
'' Après nous avoir gratifiés d'un ouvrage de haute facture, intitulé '' UN DESTIN MALHEUREUX '', Khadim Gueye, à travers ce recueil de poèmes, nous offre un exutoire où le lecteur peut s'épanouir dans l'exaltation d'un panorama poétique riche et varié, oscillant entre harmonie et émotion. Ce recueil invite à une réflexion profonde sur la condition humaine, tout en célébrant la beauté des mots et des sentiments.
L'homme est simple, franc et courtois. Son cœur est limpide, tout comme les pages de cet ouvrage. Les phrases, ciselées avec soin, témoignent d'un réel souci de perfection et de pertinence. Chaque mot choisi avec précision reflète son engagement envers une écriture authentique et réfléchie, révélant ainsi la profondeur de sa pensée et son sens de l'esthétique ''
Commenté par Ibrahima Ndiaye, le développeur web, l'expert en Commerce international, le géographe, l'historien, l'entrepreneur en herbe, bref un homme d'une sagesse exceptionnelle au moment où la paresse, la médiocrité, la décadence, gagnent à vitesse crevée, le terrain.

Un Destin malheureux/ Une rose de printemps
Deux joyaux de la littérature de l'écrivain sénégalais, Khadim Gueye. Ne surtout pas les négliger dans votre Pile À Lecture ( PAL) de cette année !