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Sabine Raillard

Sabine Raillard

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Sabine Raillard

Descriptif auteur

Recherche sur les origines du christianisme.


Née au Havre 1932. Chercheur CREDIF ENS de St Cloud.

Titre(s), Diplôme(s) : DEA d'Anglais Sorbonne 1956/3e cycle en psychologie, sciences de l'éducation Paris X Nanterre 1982

Fonction(s) actuelle(s) : Ingénieur de recherche (er)

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AUTRES PARUTIONS

Voix et Images de France Exercices pour le laboratoire de langues, Français langue étrangère. Crédif Didier éditeur
Archipel 1 & 2 Cours de Français pour étrangers, (en collaboration) Crédif ENS de St Cloud Didier Hatier éditeur
Coquelicot Cours de Français pour les étrangers (en collaboration Credif ENS de St Cloud Zanichelli Bologne

LES CONTRIBUTIONS DE L’AUTEUR

Articles et contributions

Et les grands se feront mendiants

LES ARTICLES DE L'AUTEUR

Prière de Paix

Citation :
une rivière que bientôt mes castors viendront protéger pour les héritiers de Keita, de Sédar, de Mandessi

Coule comme l'eau vive, coule sans fin Djoliba

L'histoire, vérité ou fiction ?
26-2-2015
Prière de Paix
En remontant les mots, tu remonteras les chaînes, Tu feras face au vent, tu remonteras dans le temps.
Je construirai pour toi des rêves, homme noir, tu apprendras à lire dans le sang que tu fus colonisé dans ton inconscient par la couleur unique du sang
Quand les historiens racontent un fait, un événement et deviennent spécialistes d'une période lointaine dans le temps, ils partent des traces connues de ce passé et ils espèrent construire une approche nouvelle de l'évènement en question.
Le choix ou l'attirance de l'historien vers telle ou telle époque ou tel personnage est dicté par un motif personnel plus ou moins conscient qui a trait à sa personne et à son histoire, ce que Freud appelle le roman personnel. Pourquoi Napoléon, Louis XIV et maintes autres célébrités ont-ils tant séduit et connu la gloire des grands hommes pour susciter également tant d'ouvrages de la part de leurs détracteurs ? D'où le vient le succès de nouveaux ouvrages alors que dans certains pays, les traces de leur passage n'ont laissé que de mauvais souvenirs ?
Faut-il remonter à Maïmonide pour savoir qui, sous sa plume et sous son texte, était le "fondateur de la religion chrétienne" ? Jésus, Pierre, Jacques, Saül de Tarse ou Constantin ?
Le travail de l'historien a affaire à un manque d'information, il s'agit toujours de trouver la pièce manquante au procès du récit. En France, l'histoire de la décolonisation commence à peine, mais aujourd'hui on parlera plus volontiers d'Aimé Césaire que de Léopold Sédar Senghor, tous deux pères de la négritude. On parlera volontiers du peintre Chagall et de son plafond à l'Opéra de Paris plutôt que de s'interroger sur la cause pour laquelle tant de paroles martelées dans nos oreilles répètent à qui veut bien l'entendre que la misère régnait dans les shtetls au temps des tzars. Face aux pogroms antisémites, les juifs fuyaient en sauvant leur violon et leur Torah, abandonnant leurs partitions et leurs biens. Que reste-t-il quand il ne reste rien sinon les chants lointains de l'enfance, parfois la musique d'une langue perdue, le deuil infaisable de la voix utérine de la mère et des senteurs de la terre d'origine.
La réaction contre une manière personnelle de se servir d'un personnage célèbre pour déchiffrer le temps passé libère souvent une logique discriminatoire qui tend à éliminer l'affectif, le sensible, bref à éviter le retour sur soi, pour interroger des identifications non identifiées en soi-même. Vient un temps où les héros d'un temps livrent la face cachée dont des inconditionnels zélés ont contribué à enjoliver le réel, soit par ignorance, soit par haine de l'autre afin de ne pas y lire leur propre misère psychique intérieure dont la source est universelle. Personne ne peut échapper à cette complicité avec le secret, les secrets de famille gravés dans les synapses du cerveau de la toute petite enfance de l'être humain, l'insu pour certains, cette vérité que les enfants dessinent avec leurs crayons de couleur. Parfois la statue du héros aux pieds d'argile s'effondre avec le régime qu'il a instauré, le totalitarisme passé inaperçu imposé à son entourage familial et professionnel voit le jour dans la consternation générale. Alors s'écrit le temps des enfants cassés par la vie.
L'enfant croit qu'il pardonne, car il doit survivre à ses blessures, il ne pardonne pas, il oublie et il refoule. Comment oublierait-il qu'il a été humilié dans ses parents, ses oncles, des sans-papiers, des SDF, des clandestins, des affamés, le père accidenté du travail et polygame parce que c'est la coutume d'avoir beaucoup d'enfants et de ne jamais les refuser. Comment oublierait-il sa mère analphabète qui ne savait pas qu'il faut apprendre ses leçons et surtout avoir un coin de table pour faire ses devoirs. Comment oublierait-il le dernier conseil de classe en fin de troisième, la découverte que l'école ne
voulait plus de lui parce qu'il n'avait pas le niveau pour entrer au lycée. Comment oublier le jour où naquit la lucidité du petit garçon de sixième à Pantin en Ile de France forcé avec ses potes à faire le gué pour la première fois par les grands frères pour signaler à temps une ronde de police à l'approche. Comment oublier la tristesse accumulée dès le printemps de sa sixième, la différence sociale, la couleur de la peau, la défaite sociale du père, des pères, le taux de chômage à la Cité des Courtillières. A la télévision, les professeurs faisaient la grève pour leur salaire, jamais pour la défense des enfants. Comment pardonner et à qui ? Pourquoi se battre et se battre contre qui ? Se battre où, où apprendre à manier les armes à feu ? Se venger, contre quelqu'un, avec ceux qui se vengent. Trouver l'autre dans sa ressemblance, trouver l'autre, celui qui se bat pour quelque chose, qui croit avoir trouver une cause. Comment pardonner, voilà bien la solution trouvée par nos enfants, ceux des autres, ceux dont nos ancêtres, Les Vautours, ont écrit leur soif
En ce temps-là, A coups de gueule de civilisation A coups d'eau bénite sur les fronts domestiqués1
Alors, au fil de la plume du petit Léopold Sédar, un enfant noir de peau, ils ont écrit leur Prière de Paix et demandé pardon, à l'avance, au nom de tous mes petits sixièmes qui, une fois devenus grands, font des bêtises :
Seigneur Dieu, pardonne à l'Europe blanche ! Et il est vrai, Seigneur que pendant quatre siècles de lumières elle a jeté la bave et les abois de ses molosses sur mes terres Et les chrétiens, abjurant Ta lumière et la mansuétude de Ton cœur ont éclairé leurs bivouacs avec mes parchemins, torturé mes talbés, déporté mes docteurs et mes maîtres de science2.
Plus tard, à l'âge adulte, ou bien ils se vengent, mes petits sixièmes, sur quelqu'un d'autre et ils ne le savent pas, ou bien ils deviennent des petits saints de bois. Pour l'entourage et pour ses propres enfants, ses petits frères et sœurs, la situation est pire. C'est ce que Freud appela la répétition.
Parfois, il arrive qu'un enfant dessine son désir et ses desseins avec des crayons de couleurs.
Ainsi en est-il aujourd'hui pour la colonisation des continents lointains qui divise les esprits. Les uns, selon leur expérience, leur vécu, leur sensibilité et leur lecture du temps présent se sentent responsables des séquelles laissées par leurs ancêtres, certains témoignent d'une grande indifférence, d'autres ne veulent rien savoir d'un passé qui impliquerait de remettre sur le métier le tissage abandonné par les femmes pour cause de razzias, les autres, parfois encore vivants, des êtres chers, dont il s'agit de protéger la mémoire et les cendres.
Coule donc, Djoliba, vénérable Niger, suis ton chemin à travers le monde noir et accomplis ta généreuse mission. Tant que tes flots limpides rouleront dans ce pays, les greniers ne seront jamais vides et chaque soir les chants fébriles s'élèveront au-dessus des villages pour égayer le peuple africain3
Coule comme l'eau vive de la Guinée, coule sans fin Djoliba, comme une rivière que bientôt mes castors viendront protéger pour les héritiers de Keita, de Sédar, de Mandessi, mes anciens petits sixièmes de Villejuif et de Pantin qui ont tant soif de justice et qui la méritent bien.


Signature :
sabine Raillard

mes anciens petits sixièmes de Villejuif et de Pantin qui ont tant soif de justice et qui la méritent bien.

Notes :
1 DIOP David Mandessi 1927-1960. Sénégal. "Les vautours". Anthologie de la poésie noire d'expression française. Hatier 1987, p. 152 2 SENGHOR Léopold Sédar. Sénégal. "Prière de Paix". Anthologie de la poésie noire d'expression française. Opus cité. p. 161. 3 FODEBA Keita. 1921-1969. Guinée. Anthologie de la poésie noire d'expression française. Opus cité. p. 126
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DESSεINS D'ENFANT, DESTIN D'ADULTE L'infantile chez les grandes personnes

Citation :
J'ai appris pour toujours à lire dans les étoiles, l'univers contempler la nuit obscure de l'étranger.

Les expériences totalitaires enseignent que la nature humaine n'est pas humaine naturellement mais seulement qu'elle introduit la possibilité de devenir quelque chose de non-naturel, à savoir un homme. Hannah Arendt

Signature :
Sabine raillard

Les physiciens, les astrophysiciens et les mathématiciens évitent rarement la question métaphysique qui met l'homme face à sa responsabilité : pourquoi l'univers surmonte-t-il sa difficulté d'être ? [...] Si nous découvrons une théorie complète, elle devrait un jour être compréhensible dans ses grandes lignes par tout le monde et non par une poignée de scientifiques. Alors, nous tous, philosophes, scientifiques et même gens de la rue, serons capables de prendre part à la discussion sur la question de savoir pourquoi l'univers et pourquoi nous existons. Si nous trouvons la réponse à cette question, ce sera le triomphe ultime de la raison humaine, à ce moment, nous connaîtrons la pensée de Dieu. Stephan Hawking

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Le signe de Jonas et la métaphore maternelle

Citation :
Quelque chose du mystère propre au cunéiforme assyrien dans l'écriture des présages divinatoires échappe
à notre entendement et, par voie de conséquence, aux études sur les origines du christianisme. Une chose est certaine, l'astrologie et la divination chaldéennes ne sont pas prises en considération par les exégètes et les historiens des religions. Elles sont aussi négligées que la perception de la voix de la mère par le fœtus qui apprend in utero à s'humaniser par l'ouïe.

L'Etable, la Crèche, le Joug, des lieux célestes dans le firmament d'Erasthostène,
la fidélité des étoiles à leur rendez-vous avec un enfant-dieu est née dans la légende des ciels
bibliques. Rendez-vous des chercheurs en anthropologie culturelle à l'Abbaye de Bernard de
Clairvaux avec l'émerveillement d'Hannah Arendt devant le miracle de la natalité : "un enfant
nous est né".

Signature :
Sabine Raillard

De nos jours, pour une femme, pour formuler un désir, il faut s'asseoir
au bord du fleuve et chanter le chant des dispersées, pleurer parfois,
mais ne jamais oublier que l'érection du premier temple astronomique se
produisit sur un clou de fondation, un sacrifice d'enfant, pierres sur
pierres posées des mains d'esclaves enlevés au cours de razzias et de
guerres sanglantes. Sur l'autre rive du fleuve, les hommes s'y
rassemblèrent une première fois, puis plus souvent et plus nombreux,
afin d'étudier la marche des étoiles dans le silence des nuits de
Mésopotamie. La fidélité de la lumière qu'elles leur envoyaient était à la
mesure de leur fidélité à leurs rendez-vous.

Notes :
Pharaon AMENOPEH, L'Onomasticon, XXIe dynastie tanite, 1085-950.
Jean-Jacques GLASSNER Ecrire à Sumer, p. 258, Seuil 2000
René LABAT Le caractère religieux de la royauté assyro-babylonienne, p. 360. Thèse pour le doctorat de Lettres. Librairie d'Amérique et de l'Orient Adrien Maisonneuve MCM 1939.
Karl Gustav JUNG, Métamorphoses de l'âme et ses symboles, 1911, p. 366, Livre de poche 1993
L'évangile de Judas, papyrus Tchacos, Champs Flammarion 2008
ERATHOSTHENE Le ciel, mythes et histoire des constellations, sous la direction de Pascal Charvet p. 57, 213, Nil 1998.
Jean-Jacques GLASSNER Ecrire à Sumer, l'invention du cunéiforme p. 258, Seuil 2000
Frédéric SERVAJEAN Les formules des transformations du Livre des morts à la lumière d'une théorie de la performativité. Institut français d'archéologie orientale, 2004.
AMENOPEH, L'Onomasticon, XXIe dynastie tanite, 1085-950.
Pascal CHARVET Eratosthène, le ciel, mythes et histoire, des constellations, p. 101, Nil éditions 1998
Christian AMPHOUX "Le problème de la vie de Jésus" in Dieu parle la langue des hommes, p. 132, Ed du Zèbre 2007
Pour les recherches sur l'histoire des textes et les versions du texte de Marc, cf Christian AMPHOUX, CNRS, "Evangile de Marc", 1999, Mélanges de sciences religieuses, Revue trimestrielle n° 56, 1999, Université Catholique de Lille, 6 bd Vauban, BP 109, 59109 Lille. Christian AMPHOUX, in CORPUS CHRISTI, une série de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur. Enquête sur le nom de Jésus. DVD GCT 452. 1997-1998, la Sept Arte, Archipel 33.
Jérôme LINDON Jonas p. 14 Minuit 1955
En arabe moderne d'Egypte, le gala-gala, c'est le mash-mash mésopotamien, le prestidigitateur que l'on invite les jours de fête pour le plus grand bonheur de tous et pour évoquer la mémoire syntaxique du superlatif sumérien rendu par la gémination de la consonne ou de la syllabe. Cette pratique phonique fut reprise par les Grecs qui l'écrivirent dans la gémination expressive, au sujet de laquelle les hellénistes ne donnent pas d'explications.
Lucien-Jean BORD Petit lexique du sumérien p. 99 Geuthner 2001
FREUD L'interprétation des rêves p. 277, PUF 1926 et 1967
René LABAT, Traité akkadien de diagnostics et pronostics médicaux, Paris-Leyde 1951.
L'hébreu gil signifient exulter d'allégresse, bondir, jouir, se réjouir, jubiler. Le verbe égyptien khen peut être traduit par danser et voler s'il a son déterminatif "homme dansant", mais il signifie aussi "faire de la musique" au moyen du sistre.
Antoine MEILLET décrivit la formation des noms propres à partir des noms communs en indo-européen. On voit mal pourquoi la formation des noms communs dans les langues sémitiques suivrait un itinéraire différent. Le dieu indo-iranien Mitra, Le Journal Asiatique, tome X, Jui-Août 1907. La plante sacrée, le silphium, appelée drogue couleur de cornaline, et aussi parfum lybien, (car dans la théologie d'Esna, Neith, déesse primordiale qui créa le monde de sa parole était lybienne) présente une supériorité sur le luncurium qui a le pouvoir de dégager un fort parfum de musc très apprécié dans l'Antiquité. Une ressemblance avec des mots égyptiens qui désignent simultanément le sceptre royal ouas w3s et l'arbre sh ws sous lequel git Horus à qui Seth vient d'arracher les yeux, arbre évoquerait pour les égyptiens les perles de cornaline à cause de ses fruits ronds et rouges utilisés pour les maladies de yeux. La valeur des verbes wss rejeter et ws mâcher était peut-être étendue au verbe ws3 engraisser, gaver et à w3s exalté, puissant, honoré, dès lors que la plante sacrée servait à engraisser les femmes dans les harems pour les rendre plus attrayantes tout comme les bêtes entravées dans les pâturages de silphium dont la viande était la meilleure ? Cette plante, utilisée comme engrais agricole dans l'Antiquité égyptienne, est utilisée de nos jours, dans les cultures arabo-berbères pour la culture des mangues, mais également pour permettre aux femmes de prendre du poids.
Vladimir VIKENTIEV "Le silphium et le rite du renouvellement de la vigueur". Bulletin de l'Institut d'Egypte XXXVII, n° 1, 1954-1955
Il y a une parenté phonique entre la déesse indo-européenne Sin et la lettre hébraïque sin = dent.
Vladimir VIKENTIEV "Le silphium et le rite du renouvellement de la vigueur". Opus cité
Vladimir Vikentiev indique que le lynx se prête admirablement à un rapprochement avec cette plante ombellifère si l'on prend en considération ce que le folklore dit à propos de cet animal : "un être aussi fantastique que le sphinx aux poils roux". Toute une série de légendes rapproche étrangement la vue du lynx et la puissance de son urine (wss) qui se coagulerait au contact de l'air en devenant une pierre précieuse d'un éclat de feu. Dans toutes ces fantasmagories se perçoit l'écho de faits réels prélevés dans le quotidien de l'existence de ces populations qui vivaient en grande harmonie avec la nature. En effet, le liquide secrété par les reins du lynx ne ferait que remplacer dans l'imagination populaire le suc s'écoulant de la tige ou de la racine de la plante. Par une série d'associations prélevées dans le réel botanique et les légendes, Vikentiev en arrive à désigner le luncurium confondu avec la chair du lynx, associé à l'escarboucle et à la gomme couleur de feu, comme évoquant pour les Égyptiens leur pierre rouge semi-précieuse, la cornaline, évocatrice d'ivresse et de folie, qu'ils désignaient par le même nom que la plante (ws).
Ivan FONAGY La vive-voix, Essai de psycho-phonétique, Payot 1983-1991
Vladimir E. OREL & Olga STOLBOVA Hamito-semitic etymological dictionary, materials for a reconstruction, p. 19, Brill 1995
Xavier DELAMARRE Le vocabulaire indo-européen, lexique étymologique thématique, Maisonneuve 1984. R. GRANDMAISON d'HAUTERIVE Dictionnaire des racines des langues indo-européennes, Larousse 1994. Calvert WATKINS The american Heritage, dic.tion.ar.y of indo-european roots, Houghton Mifflin Company Boston NewYork 2000
Merritt RULHEN L'origne des langues p. 256 et +, Belin 1994-1997
Claude LÉVI-STRAUSS "Les leçons de la linguistique" in Le regard éloigné p. 198, Plon. Roman JAKOBSON Six leçons sur le son et le sens, troisième leçon, Minuit 1976
Robert TURCAN Mithra et le mithriacisme p. 11 Les Belles Lettres 1993
En égyptologie, la prononciation de son nom est transcrite par M3't
FREUD Moïse et le monothéisme 1938 p. 140, Folio 1986
POSENER Dictionnaire de la civilisation égyptienne p. 87 § dieux, Fernand Hazan 1959
Vladimir VIKENTIEV "Le silphium et le rite du renouvellement de la vigueur". Bulletin de l'Institut d'Egypte XXXVII, n° 1, 1954-1955
Jules ISAAC Jésus et Israël Fasquelle 1948
Michaela BAUKS "La fille sans nom, la fille de Jephté", in Dieu parle la langue des hommes, p. 109, Edition du Zèbre 2007
Jean BOTTERO La Hiérogamie après l'époque sumérienne. Supplément à SN. KRAMER Le Mariage Sacré à Sumer et à Babylone, p. 175, Berg International 1983
Emile BENVENISTE "Lexique et culture", in Problèmes de linguistique générale p. 294, NRF Gallimard 1966
Message du prophète Adad. Brique en argile cuite, temple de Shamash vers 1825-1810, Musée National de Damas.
Alexandre MORET La mise à mort du dieu en Egypte p. 50, Librairie Geuthner 1927
Evangile selon Marie, in Ecrits apocryphes chrétiens p. 21-22, Pléiade Gallimard 2005
Evangile de Nicodème, in Ecrits apocryphes chrétiens p. 270, opus cité
Violences sociales d'origine religieuse, Héritages en Occident, inédit, 2009
Boris SEGUIN, Frédéric TEILLARD d'EYRY Les Céfrancs parlent aux Français, Calmann-Levy, ISBN 2.7021.2587.5. Calmann-Lévi 1996.
Frédéric BOYER, André LEMAIRE Le Monde de la Bible p. 38-39, Editions des Arènes, 1999
Toucher la langue touche à la prononciation individuelle et sociale, la personne, la voix, le niveau culturel, indique le peuple d'appartenance, le clan, l'ethnie, le groupe social à l'intérieur de la hiérarchie d'une société donnée.
James FRAZER Le rameau d'or p. 339+, Laffont 1981
Alexandre MORET La mise à mort du dieu en Egypte p. 47 à 52, Librairie Geuthner 1927
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