Jean Gillibert moud les poncifs et, de son écriture fulgurante, il nous donne à réfléchir sur la ""raison"" et ses ""raisons"" ; il voudrait qu'on valorise "" l'événement, l'amour et non les attributs du manque"". Pour ""s'enraciner"", il faudrait d'abord songer à ""s'endéraciner"", selon le mot de Marc Bloch, et d'ajouter ces mots de l'historien : ""Quelque puisse être le succès final, l'ombre du grand désastre n'est pas près de s'effacer.""