En 1990-91, une jeune étudiante, venue de l’autre bout du monde, est invitée à partager l’appartement parisien du naturaliste et « saharien » Théodore Monod. Ce privilège cimentera une longue amitié débutée dès la fin des années 1970.
Durant cette période, Christine A. Hemming décide alors de tenir un journal afin que ce moment ne s’efface jamais de sa mémoire.
À travers ces écrits émerge un autre regard, intime et unique, d’un homme bien connu, remarquable certes, mais qui dans sa vie quotidienne était aussi plein d’humour et très simple.
Malgré le fossé des générations, ces colocataires partageront l’amour de la science, qui fera naître le goût de la documentation visuelle scientifique chez l’auteure.