Bienvenue dans l’angle mort de nos sociétés : celui qu’on oublie, celui qu’on tait. Dans ce premier recueil, Jean-Philippe Sedikhi dresse, poème après poème, un tableau brut et bouleversant de l’invisible. Sa poésie, influencée par Raymond Carver et Jacques Prévert, est directe, sans fioriture, mais d’une puissance rare. À travers des scènes du quotidien, il nous parle d’exil, de solitude, de pauvreté, d’errance et de dignité. Il capte la beauté fragile d’un instant, l’éclat d’une détresse, le ...
Bienvenue dans l’angle mort de nos sociétés : celui qu’on oublie, celui qu’on tait. Dans ce premier recueil, Jean-Philippe Sedikhi dresse, poème après poème, un tableau brut et bouleversant de l’invisible. Sa poésie, influencée par Raymond Carver et Jacques Prévert, est directe, sans fioriture, mais d’une puissance rare. À travers des scènes du quotidien, il nous parle d’exil, de solitude, de pauvreté, d’errance et de dignité. Il capte la beauté fragile d’un instant, l’éclat d’une détresse, le silence d’un regard. Ce recueil n’est pas un simple livre de poésie : c’est un cri discret, un témoignage sensible, un miroir tendu vers ceux qu’on ne voit plus. « J’écris pour les oubliés, j’écris pour ceux qui crient et qu’on n’entend pas »
Jean-Philippe Sedikhi écrit de la poésie, des nouvelles et des histoires jeunesse. Ses écrits ont été publiés dans plusieurs revues francophones : Traversées, Poésie première, Poésie mag et L’atelier du roman.