Dans un dialogue imaginaire avec sa sœur, dynamique dirigeante d’une société prospère, et avec son frère dont la timidité a trouvé dans la littérature un refuge, Louise réalise, maintenant qu’elle est morte, à quel point nos vies peuvent se trouver bouleversées par les minuscules détails d’une œuvre d’art. De quelques notes du quintette pour piano et cordes de César Franck à d’imperceptibles reliefs sur un buste égyptien…
Après une carrière de cadre dans une multinationale, Philippe van der Schrieck se consacre dorénavant pleinement à la musique et à l’écriture d’œuvres théâtrales, dont certaines ont déjà fait l’objet de représentations par des troupes de théâtre amateur.