Telle une flotte sur l'Atlantique, soulignée jadis d'une splendide bande de sable blanc, symbole unique d'une pureté perdue, Pointe-Noire ou Ponton La Belle. Peinte en demi-teinte et, malheureusement, délaissée des pouvoirs publics, elle patauge dans des vases d'immondices à ciel ouvert. Malgré ces quelques pages ternes, Paul N'zo Mono, dans un style qui lui est propre, fait une part belle à l'amour, celui confusionnel qui sans cesse fusionne la femme multiple avec le prime amour maternel, lui-m...
Telle une flotte sur l'Atlantique, soulignée jadis d'une splendide bande de sable blanc, symbole unique d'une pureté perdue, Pointe-Noire ou Ponton La Belle. Peinte en demi-teinte et, malheureusement, délaissée des pouvoirs publics, elle patauge dans des vases d'immondices à ciel ouvert. Malgré ces quelques pages ternes, Paul N'zo Mono, dans un style qui lui est propre, fait une part belle à l'amour, celui confusionnel qui sans cesse fusionne la femme multiple avec le prime amour maternel, lui-même entouré des amours pour la terre.
Paul N'zo Mono est né à Pointe-Noire, au Congo-Brazzaville. Ses deux premiers ouvrages, Une lumière sur la chandelle (Harmattan,2006) et Si patrie en était une (Harmattan, 2014) s'accordent avec les mêmes desseins littéraires que ce dernier recueil de poèmes.