L'auteur fait un état des lieux de la maladie, et souligne les différents problèmes éthiques qu'elle soulève. L'Afrique est le continent le plus touché par la maladie. Et les femmes africaines présentent des risques très élevés d'infection et représentent 59 % des adultes ayant le VIH-sida. Considérée comme une maladie de la honte, les personnes atteintes de sida dévoilent difficilement leur état. Ce qui réduit étroitement les stratégies à mettre en place pour l'éradication de la maladie. S'il n'existe encore aucun vaccin contre le VIH-sida, il existe actuellement des thérapies, surtout des antirétroviraux, capables de réduire la charge virale et de transformer le sida en une maladie chronique.