Les ateliers d'écriture ne sont-ils qu'un agréable passe-temps, un loisir destiné à ceux qui maîtrisent cette forme d'expression, qui ont plaisir à manier le stylo ? Cela a-t-il un sens de proposer une action de ce type à des personnes; illettrées ou analphabètes, qui éprouvent d'immenses difficultés à aligner quelques mots ? L'auteur tient ce pari : écrire peut être le levier d'une lutte contre l'exclusion.