Jihane Farhat est docteur ès lettres. Elle a un doctorat en littérature française, possède un DEUG en droit et de sciences politiques ainsi qu’un DEUG en sociologie.
Elle s’engage ensuite dans l’enseignement puis dans la presse écrite où elle rédige des articles de fond dans des quotidiens locaux arabophones et dans la presse francophone où elle mène aussi des enquêtes sur le terrain. Elle travaille dans le Vatican, en plus que dans l’activité radiophonique, comme archiviste et distributrice d’informations dans le cadre du synode des évêques pour le Moyen-Orient, et dans le programme arabe, ainsi que dans le traitement des informations ecclésiales et leur impact sur l’actualité internationale. Elle devient ensuite éditrice en chef de Nour el Chabab, télé satellitaire qui a grand accueil auprès du public. Rédactrice de grands documentaires télévisés, elle œuvre dans la conception de projets éditoriaux ; préside des veilles évènementielles et dans les domaines culturels et religieux, consultation d’experts, interviews, et s’occupe de la gestion d’un réseau de pigistes, et d’une équipe de rédacteurs


Jihane Farhat nait dans une famille d’intellectuels beyrouthins. Son père est doyen de la faculté de droit et de sciences politiques de l’Université Libanaise. Férue lectrice, elle s’engage dans des études littéraires et bien qu’entamant, à la demande de son père, des études de droit et de sciences politiques, Farhat a toujours eu le goût de la lecture et de l’écriture et entame, dès le secondaire, la lecture et l’analyse des grands romans de la littérature classique et moderne. Son cursus universitaire le confirme, et esquivant des études de droit, elle poursuit des études de littérature française à l’université libanaise pour parfaire son deuxième et troisième cycle d’études à l’université Saint Joseph de Beyrouth. Sa thèse, est publiée par les éditions de l’Harmattan porte sur des questions de dramaturgie. Elle s’engage aussi dans le domaine du journalisme et des médias. Elle rédige des articles dans le quotidien libanais francophone l’Orient le Jour et dans la page culturelle d’un journal arabophone Al Moustakbal et mène des enquêtes pour l’hebdomadaire Magazine. Son oncle, nonce apostolique, lui ouvre les portes du Vatican et elle travaille dans la radio vaticane. Enseignante, critique, mais aussi amatrice de théâtre, et férue défenseur de la francophonie, elle couvre les évènements culturels de la capitale libanaise et reprend des questions de géopolitique qui éclairent les problèmes régionaux. Elle travaille enfin dans la télévision et s’occupe plus particulièrement du documentaire et de l’entrevue télévisée. Farhat espère, dans le futur, s’engager dans l’enseignement universitaire et dans l’écriture critique, poétique et fictionnelle.