« La mémoire n’est pas un fardeau, elle est la lumière des vivants. » Entre le Congo, Paris et Bahia, un homme dresse un pont de paroles entre les vivants et les ancêtres. Dans Le Requiem du Kasàlà, David Ollie transforme la poésie en un rite de mémoire et de transmission. Chaque mot devient tambour, chaque page une prière, chaque silence une renaissance. Le kasàlà — art oratoire venu d’Afrique centrale — s’élève ici comme une célébration de la dignité humaine, un chant pour les en...
« La mémoire n’est pas un fardeau, elle est la lumière des vivants. » Entre le Congo, Paris et Bahia, un homme dresse un pont de paroles entre les vivants et les ancêtres. Dans Le Requiem du Kasàlà, David Ollie transforme la poésie en un rite de mémoire et de transmission. Chaque mot devient tambour, chaque page une prière, chaque silence une renaissance. Le kasàlà — art oratoire venu d’Afrique centrale — s’élève ici comme une célébration de la dignité humaine, un chant pour les enfants des rues, les femmes debout, les peuples blessés mais lumineux. Écriture lyrique et spirituelle, rythmée comme une prière, ce recueil fait de la poésie un acte sacré, un rite de pardon et de renaissance.
David OLLIE est un poète, auteur et éducateur français d’origine congolaise. Lauréat du Prix Harubuntu 2012 pour son engagement auprès des enfants de la rue à Kinshasa, il vit entre la France et l’Afrique, où il œuvre pour une pédagogie de la dignité, du pardon et de la transmission. Son écriture, enracinée dans la tradition du kasàlà, fait dialoguer la mémoire et l’espérance, la douleur et la beauté.