Le remous médiatique auquel a donné lieu la loi du 12 février 2005 (article 04) sur les ""bienfaits de la colonisation"", votée à la va-vite par l'Assemblée nationale française, n'est pas prêt de s'achever tant au sein de la classe politique qu'à celui de la société civile, à l'intérieur de l'hexagone comme dans les anciennes colonies. Est-il possible, voire légitime, de contester le monopole de ce dossier au politique pour le soumettre au débat académique ?
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