Après les dernières crises économiques et financières, la dette publique et les déficits budgétaires reviennent en force dans le débat politique. C’est la peur du moment. Ce qu’il faudrait redouter, plus que tout, c’est la dette. Celle de l’État, en l’occurrence, celle qui est censée peser sur les épaules des générations futures. Jusqu’en 2024 l’ensemble des données relatives aux dettes mondiales publiques sera analysé, mais aussi celles des entreprises et des ménages. Leurs évolutions historiques, les liens entre croissance, taux d’intérêt et dettes seront clairement explicités.
La réflexion autour de la dette conduit aussi à s’interroger sur le type de société voulue. Il sera enfin abordé quelques préconisations pour améliorer la structure et la gestion de cette dette, en particulier en France.
Une nouvelle histoire de la dette doit s’écrire en allant au-delà des données purement comptables. Un consensus est-il possible pour réfléchir à de nouvelles dynamiques de croissance et résoudre nos problèmes (chômage, urgence climatique et maintenant notre sécurité) ?
La fracture sociale sera alors réduite, et la montée du populisme sera stoppée.