Madame de Valmont laisse son mémoire au “public”, pour qu'il puisse juger de l'injustice dont elle a été victime.
Constitué par sa correspondance privée, ce mémoire révèle la duplicité et le caractère profondément ludique de Madame de Valmont. Derrière l'évocation du comportement injuste d'un père envers sa fille, se profile l'activité volontiers intrigante de cette femme.