« La culture, c’est ce qui reste quand on a tout perdu »… Mais il se trouve un « tiers »-inclus que la raison ne connaît point. Religion ? Arts ? Littérature ?
Des œuvres ont frayé un chemin, « culturel », certes, mais – « à l’aventure » – son labyrinthe mène le pèlerin à une vive influence et, quoique « furieux », ceux qui en sont les supports distillent des délices : Monteverdi, Carl Orff, Adalbert Stifter, Botticcelli, Nietzsche, Antonin Artaud, Mikhaïl Boulgakov, Joseph de Maistre, Léonard d...
« La culture, c’est ce qui reste quand on a tout perdu »… Mais il se trouve un « tiers »-inclus que la raison ne connaît point. Religion ? Arts ? Littérature ?
Des œuvres ont frayé un chemin, « culturel », certes, mais – « à l’aventure » – son labyrinthe mène le pèlerin à une vive influence et, quoique « furieux », ceux qui en sont les supports distillent des délices : Monteverdi, Carl Orff, Adalbert Stifter, Botticcelli, Nietzsche, Antonin Artaud, Mikhaïl Boulgakov, Joseph de Maistre, Léonard de Vinci, Paul Claudel, Knut Hamsun, Dürer, Van Gogh… Ils introduisent au sentiment fantastique, révélé par le romantisme allemand, et suscitent un émoi proprement surnaturel (Affetti, Sehnsucht, Duende, Susto… Fureur poétique) : l’émotion intellectuelle ; accordée au diapason de René Guénon, elle donne son à la Bonté et lumière à la Beauté…
La Tradition est le contraire de la perte : unie à la sincérité du cœur, d’un rien et par-delà tout, elle conserve l’être passager dans la restauratrice dépendance des harmonies de l’Unique.
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