Ce livre examine les changements qui s’opèrent en Afrique, depuis le XVIIIe siècle, aussi bien dans les sociétés rurales que dans les espaces urbains. Les contributeurs de ce tome, par les problématiques qu’ils soulèvent, s’inscrivent parfaitement dans la dynamique de renouvellement de l’histoire sociale. Surtout lorsqu’ils se mettent en mode de repérage, de décapage et de décorticage du déviant, du marginal, du fait transgressif, peu visible, voire invisible. Au-delà, en se nourrissant de la ...
Ce livre examine les changements qui s’opèrent en Afrique, depuis le XVIIIe siècle, aussi bien dans les sociétés rurales que dans les espaces urbains. Les contributeurs de ce tome, par les problématiques qu’ils soulèvent, s’inscrivent parfaitement dans la dynamique de renouvellement de l’histoire sociale. Surtout lorsqu’ils se mettent en mode de repérage, de décapage et de décorticage du déviant, du marginal, du fait transgressif, peu visible, voire invisible. Au-delà, en se nourrissant de la pensée philosophique, ils (dé)montrent avec brio que la construction d’un récit sur la société ne peut reposer uniquement sur des bases historiennes. Elle se doit de s’appuyer égale-ment sur des savoirs scientifi ques comme la psychologie, la sociologie, la géographie. Les résultats attendus ont trait non seulement à la sortie de l’analyse européocentrique des relations et des mécanismes sociaux de la vie mais aussi et surtout à la force d’involution de ce lieu de tension que constitue la modernité.
Kouakou Désiré M’Brah est maître de conférences en histoire à l’université Alassane Ouattara (Bouaké-Côte d’Ivoire). Membre fondateur du laboratoire LARSHI et responsable des Presses universitaires de Bouaké, il a à son actif plus d’une vingtaine d’articles scientifiques et trois ouvrages publiés.
Mamadou Yéro Baldé est enseignant-chercheur à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et chercheur associé au Centre Population et Développement (Ceped, UMR 196). Il est aussi membre des laboratoires « Groupe d’Etude et de Recherche sur la Marginalité et l’Exclusion Sociale » (GERMES) et « Métiers, Mémoire et Territoires en Afrique » (M2TA). Brahima Kaba est enseignant-chercheur à l’université Julius Nyerere de Kankan en Guinée où il est également le Doyen de la Faculté des Langues et Lettres.
El Hadji Amadou Ba Ndiaye est enseignant-chercheur à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Historien de formation, il est membre des laboratoires « Groupe d’Etude et de Recherche sur la Marginalité et l’Exclusion Sociale » (GERMES) et « Métiers, Mémoire et Territoires en Afrique » (M2TA).
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