Aller à Compostelle... Dans l’imaginaire de chacun, l’idée, un jour, a pu faire son chemin. Idée bien vite confortée par les nombreux écrits journalistiques ou littéraires qui, tous, laissent entrevoir aux marcheurs un retour au meilleur. Et en effet, après cette expérience, certains marcheurs reprennent leurs interlocuteurs et précisent : « Non, je suis parti marcheur, je suis revenu pèlerin. » Sous une forme décalée, l’auteure a imaginé un tribunal, La Très Haute Cour De La Très Haute Conscience Universelle, dont le président aurait, seul, pouvoir pour décider de l’appellation « pèlerin » ! Tempête dans le prétoire... car il faut en convenir, la réponse ne peut appartenir qu’au marcheur.