Dietrich, porteur du virus mortel de la rage des chevaux, fait la rencontre d’une femme d’exception. Malgré leur grande entente physique, les deux amants, hantés par leur passé et leurs différences ne parviennent pas à établir une relation de couple apaisée.
Dietrich découvre peu à peu un monde qui lui est totalement étranger et dont les ramifications vont bien au-delà de ce qui lui paraissait initialement accessible.
Comment voit-on l’existence lorsqu’on croit ne plus avoir accès à rien ? Quel rôle joue le virus dans la psychologie humaine ? Quelle est cette communauté de la taille d’un village à l’échelle d’un pays qui lui tend le miroir de ses différences ? Faut-il qu’une femme meure ou disparaisse pour que Dietrich puisse enfin se reconstruire ?