Cet ouvrage, atypique et (un peu) impertinent, s’enracine dans la réalité des relations sociales et de la maltraitance subie au quotidien par l’espèce humaine en ces temps de crise et de perte de sens.
Dans la famille et l’éducation, à l’école, face au médecin, face au « système », dans les relations de travail, les relations de couple, dans la sexualité, dans les relations de genre, dans la communication de masse, « l’information », la mode, la culture… le petit d’homme est dressé, pressé, cond...
Cet ouvrage, atypique et (un peu) impertinent, s’enracine dans la réalité des relations sociales et de la maltraitance subie au quotidien par l’espèce humaine en ces temps de crise et de perte de sens.
Dans la famille et l’éducation, à l’école, face au médecin, face au « système », dans les relations de travail, les relations de couple, dans la sexualité, dans les relations de genre, dans la communication de masse, « l’information », la mode, la culture… le petit d’homme est dressé, pressé, conditionné, maltraité, poussé dans un « droit chemin » conforme, vide de sens et confortable.
En un mot, aliéné.
Admettre « qu’on n’a pas le choix » c’est se laisser aller à l’abdication de soi et de son potentiel créatif, au renoncement à son individualité, à un confort morne et mou, vide de sens. Au final, désespérant.
À l’inverse, se dresser dans l’affirmation de soi, dans le récit de son individualité, c’est le choix d’un chemin courageux, confrontant. Le choix de la vie.
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